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Voilà un questionnement extrêmement puissant. La guerre, le bonheur des extrêmes et l'extrême-ment.
L'idée d'un bonheur pousse à la guerre. L'idée d'acquérir une terre, sainte ou pas d'ailleurs. L'idée de détruire un peuple qui gène. Mais au bout du compte si une quelconque guerre avait fait trouver le bonheur il n'y aurait plus de raison de guerroyer.
Les petites guerres, les querelles d'amis de couples, ne sont-elles pas dans le but de faire éclater une abcés pour aller mieux. Le bonheur, les bonheurs, ces rêves impalpables ont-ils besoin de guerres pour mieux se déssiner ?. Le bonheur ou l'idée que l'on s'en fait n'est pas atteignable. Et la terre acquise, le bonheur n'en sera pas plus atteind, il faudra encore autre chose. La recherche du bonheur c'est une fuite vers l'avant. Si l'on met le bonheur dans ce qui est hors de soi, les choses, les êtres, il y a de fortes chance que personne ne soit d'accord pour qu'il appartienne aux uns ou aux autres. Si le bonheur est une quête à l'intérieur de soi, la seule guerre qui soit sera intime. Je vais continuer de penser à cela, ta question fait surgir des tas de questions.

Elisa | 6/10/2008
La guerre des Rose
Bonilangot | 6/10/2008
L'amour passion. Amour "destroyeur".
Bonilangot | 6/10/2008
Si l'on met le bonheur dans ce qui est hors de soi, les choses, les êtres, il y a de fortes chance que personne ne soit d'accord pour qu'il appartienne aux uns ou aux autres. Si le bonheur est une quête à l'intérieur de soi, la seule guerre qui soit sera intime.

Oui. C'est l'opposition immanence transcendance.
Merci :)
B l o w n b l u e | 6/10/2008
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