67*5 - adonno
Attente.
Longue...
Vague abondance bohème de ma neuro-transmission...
Le crâne au centre de la Terre, la Têre au milieu du Soleil ...
Et puis, me passant la main de vent solaire dans ma chevelure de protubérances nucléaires pendant ma pose de Bouddah, je me scalpe... une onde émotionnelle vive, intense, se propage, hérissant ma peau en nombres d'une rafale de séismes consécutifs, très vifs, qui font 3 fois le tour de ma complexion nue, en sueur, froide.
Attente...
Le sol était fable, l'hôtel lacrymal, la plume sel, la nébuleuse neuronale.
Une éclaboussure astrale, au présent morcelé, sans cause et sans effet.
Under Shiva's eyes, le Seigneur des Grands Axes
Attente...
Simoun de foutre...
Simoun frais.
Attente...
Rêve... Soleil pupillaire fournaise, en Terre, bleue, iridienne, dans le blanc, nuit constellée...
Au corps...
Il est des jours où je m'appelle la Rage
17 minutes
Je chiale comme un volcan, une nanobombe,
une guerre d'atomes dans un coeur quantique
Fix!
Looovvve
Ma puce, plein du vent, fusée, undead lox
pixel et lune, obsestriures,
tu jouis dans la nbières toi non ?
Tu dors avec les luths,
Acrymée au rougéor lune
lune lune lune
onde lente... rouge
vous pleurions il y a des voix
des voies qui se sentent bien dans un corps de l'une puis dans le corps de l'autre
non
non
Je me suis brulé bousillé le rêve ô pâques
il y a une femme, une longiligne adéquation au mastarios qui m'insuffla un jour une consigne d'évacuation des incendiaires
Laciniations
une utopie est un rêve abandonné
la nature c'est aussi nous
nous abandonnons des rêves qui deviennent autonomes
Tu ne le sais pas encore mais la réalité part dans tous les sens au même moment
Vombrilliures...
Casolive
Gasolive
Fuel vivant
Ta décision de chaque instant te parle à d'autres vérités qui t'acceptent
une vérité par monde
tu parles
mille vérités pour mille mondes
gratteuse de pain
L'arméémise part quand même
Prenez pleine possession des spasmes
Néant et chaos, parfois en pleine viabilité
L'habile labilité décorative de mes feuilles sociales court avec les anges dans un vert parastatal dada coignure
Le sang bleu existe il est à base de cuivre
Mon adn se rêve et se déchire parfois, comme une pourrie tissulaire qui couine comme une chambre d'air crevé un vendredi soir sur l'autoroute
Cette femme me domine mais je suis un troubadour déstructuré en bleu du 21ème siècle
Mon instrument c'est l'esprit
le rêve du corps
l'agouti
Je trange des zorglunes à l'aurore des dunes d'air
Ils sont une mécanique du ciel
ils song
ile song
Ich bin ein automat, call me Janus
la vie de la flore est sous néont, sex shop artificiel
avec des rêves en pneu
tissés
Et puis le bar coule
Tu votes le vent, tu vends ton vote
Madame Cherry chérie
Non le chlore baise le noyau de la lune
Tes impacts compactent pactisent avec le sourire
Rouge légende
Cri pur
Volte turbine
clean
Arrête les machines va voir si le brin de l'humière imagine encore son passé décharné comme un bête de sang qui avale la plaine comme une boisson de tête de mort
Une plune dans l'horaire gauche
Un tractopel a des yeux blancs
le manx pue l'absinthe
je ne te parle de rien car un rien ma parle
je juxtapose des oxylures zentéthiques
Fonxe
Tu n'aimes pâlir je m'en virevolte du saint dormant sous la voûte crânienne
il s'arrête à des défilés des filets d'engence parmilliers zarmas ta touffe au confiseur lubrique crache des poumons verts qui rampent dans une fumerie de soufre
Souffrir l'errance
cracacher l'eau chaos
J'ai pendu mille drames sur des têtes brulées
Mes yeux vomissent de l'horreur fumerolles solfatar sol fatal rougir
Je drague
continue
contigu :
tu fuis le vent qui sait pleurer un clin d'oeil mordoré
psaume 23
Il traque son espérance jusque dans les hurlements déchiquetés de l'espace sang or
le song jaune existe, il n'est pas à base d'or
change de poste
change de pote
A vendre
Flirtant découragé avec les arcanes en pluie,
une pluie d'univers tombe sur ce souvenir verdâtre au milieu des bambous de nuit
continuer
la pensée en miettes
le malaise bleu peur accroché au destin comme une tique
rame
psychasthénie
je pourrais m'aventurer en toi je me tromperai certainement moi-même
oxyclique marmoréenne des lunes
oui je sais c'est chiant à lire, ça ne mène
Arrête les murs
meus les mouvements
et si tu sais déjà le fer,
tu sais très bien que tu n'as rien à faire ici je n'ai rien à t'avvendre
Va te couler un bain de sumi-é, predre la télépathie rougeoyante des pleurs de la terre à la gorge dans un devertical ou tu te vertiges haineusement
orgasthme bienfaisant
joie bleue de l'ensoleillement
luxe des apparats
Synchrione avec les volontés divines, ils marchant comme il faut, ils survivent
le spectre froid et coleurs prend des allures de méthane et brâme son courage avec les mégasphères d'Orion
Si le cyclope interlope et déshabillé Bucéphale qui te sert pilote extraterrestre comme le zoolithe de l'anguille
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