197*2
"On passe notre vie à tout perdre !" ( Gene Hackman, dans Wyatt Earp, de Lawrence Kasdan, 1994 )
Monday 30 June 2008 à 20h26
par B l o w n b l u e
Peut-être alors que l'on né avec absolument tout ce dont nous avons besoin sur le chemin de notre vie. Nous le semons un peu à la façon du petit Poucet avec l'espoir de nous "trouver" ou retrouver sauf que l'on se perd toujours un peu plus ( c'est cela que cette phrase m''inspire) :)
de Elisa
le 2008-12-18
à 18h14
c'est joli :)
dans le film hackman joue le role du pere de Wyatt Earp, joué par costner, il lui dit cette phrase au moment où Wyatt Earp est en pleine déliquescence ( laisser-aller, alcoolisme, vol, etc... ) suite à la mort de sa femme... Le père de Earp le rejette presque après une longue période où ils ne se sont pas vus, et puis ils finissent par discuter, et il lui dit cette phrase, qui m'a beaucoup marqué, et aidé, à supporter ces fameuses pertes... que l'on subit souvent, et qui finalement sont naturelles.
dans le film hackman joue le role du pere de Wyatt Earp, joué par costner, il lui dit cette phrase au moment où Wyatt Earp est en pleine déliquescence ( laisser-aller, alcoolisme, vol, etc... ) suite à la mort de sa femme... Le père de Earp le rejette presque après une longue période où ils ne se sont pas vus, et puis ils finissent par discuter, et il lui dit cette phrase, qui m'a beaucoup marqué, et aidé, à supporter ces fameuses pertes... que l'on subit souvent, et qui finalement sont naturelles.
de B l o w n b l u e
le 2008-12-19
à 04h12
Il y a des mots comme cela des paroles des messages qui nous guident tout au long de notre vie :)
Merci pour la précision. Le contexte donne une force toute particulière aux mots.
Merci pour la précision. Le contexte donne une force toute particulière aux mots.
de Elisa
le 2008-12-19
à 17h36
il est exact que la vie est un dépouillement continuel de nos pseudos richesses, de nos certitudes, de nos "jugements" (ceux qui s'insinuent en nous subrepticement), de nos illusions, de nos repères, de nos sentiments, de nos attachements, pour aller vers le noyau inaltérable, le vrai, l'essence
de fleurdatlas
le 2008-12-20
à 16h05
le probleme c'est le simplisme de ce noyau souvent, déconnecté de la multiplicité complexe du réel.
de B l o w n b l u e
le 2008-12-20
à 16h27
qu'est-ce que le réel?
si le réel est ce que je vis, le rézel me dépouille justement de toutes mes illusions pour aller non pas au plus simple, mais à l'essentiel, ce qui n'est pas équivalent
si le réel est ce que je vis, le rézel me dépouille justement de toutes mes illusions pour aller non pas au plus simple, mais à l'essentiel, ce qui n'est pas équivalent
de fleurdatlas
le 2008-12-20
à 16h41
la raison simplifie le réel quand elle veut en déduire des lois. C'est pour ça que je disais ça.
et dans ce cadre là , l'essentiel est aussi une simplification, même si la loi déduite est très compliquée.
Mais il me semble que tu parles en terme d'âme, de vécu. Tu as sans doute raison, même si dans ce cadre là , l'essentiel m'échappe furieusement.
Je crois que je n'avais jamais envisagé le réel sous la forme de ce qui est vécu.
Est réel pour moi ce qui a une existence physique. C'est très cartésien et matérialiste.
Est ce que le vécu a une existence physique ?
:)
et dans ce cadre là , l'essentiel est aussi une simplification, même si la loi déduite est très compliquée.
Mais il me semble que tu parles en terme d'âme, de vécu. Tu as sans doute raison, même si dans ce cadre là , l'essentiel m'échappe furieusement.
Je crois que je n'avais jamais envisagé le réel sous la forme de ce qui est vécu.
Est réel pour moi ce qui a une existence physique. C'est très cartésien et matérialiste.
Est ce que le vécu a une existence physique ?
:)
de B l o w n b l u e
le 2008-12-20
à 17h39
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