Sourire ...Pour le vice du libertin évidemment mais surtout pour le bien qu'il apporte au "marketing" de l'époque... Ah! Que n'avons-nous gardé leur "prodigalité"... J'aimerais bien, moi, faire travailler des parfumeurs, des bottiers, des gantiers, des chocolatiers... Oui, bon, c'est parce que Noël approche... Faut bien rêver un peu!
AURORA
| 12/15/2008
Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi je ne peux lire ton blog que par la page des commentaires et pas celle d'accueil. C'est volontaire?
AURORA
| 12/15/2008
oui Aurora : le 30 juin, j'ai pré-publié environ 200 notes, vides, que je remplis depuis. C'est pour ça qu'elle n'apparaissent pas. C'est une façon de se libérer du temps; j'ai toujours ressenti une pression à devoir réactualiser le blog en permanence. J'ai le sentiment d'être souterrain, j'aime bien :) en plus je suis semi public, un non-membre de karmaos ne peut pas lire les notes. et puis je voulais les 529 notes sur le même mois, pour les consulter dans l'historique sur une seule page :) A part la 529, que tu verras apparaitre le 5 fevrier 2009, le 05-02-09 donc. 529 parce que 529 = 23² et que mon ublog se sous-nommait 23h23, une heure sur laquelle je tombais souvent en regardant l'horloge. je dois avoir rempli toutes les notes d'ici là, et je suis en passe d'y arriver. Si je n'y arrive pas, elles resteront vides. L'inachevé c'est pas mal non plus... :)
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
ou est le paradoxe elisa ?
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
enfin... se libérer du temps... de l'imperturbable rythme des jours qui passent un par un plutôt c'est plutot se libérer d'un rythme... changer de musique :)
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
choisir la sienne
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
Disons que la logique frôle souvent l'illogique . Quoique nous mettions en oeuvre il en résulte souvent une part inattendue de son contraire . Le paradoxal suit certainement une certaine logique .
Ouais bon !
Elisa
| 12/15/2008
Je trouve que l'inachevé à un parfum d'éternité.
Elisa
| 12/15/2008
il y a longtemps je me suis dit que le maitre mot de ce monde était le paradoxe il me semblait que des notes comme celle-ci le sous-entendait : http://529.karmaos.com/post/491 je devrais peut-être l'écrire directement
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
La vache, tu nous priverais de tes ruminements pour les réduire à un seul mot ! Ah non alors !
Elisa
| 12/15/2008
;)
c ruminations non ?
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
un jour à force de me concentrer sur le mot fenêtre, pendant qq minutes je ne savais plus l'écrire
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
Aurora : http://www.karmaos.com/2008/06/30
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
Euh ! oui mais bon tu n'es pas une vraie vache en train de digérer tes pensées non ? :)
Ressasser ses pensées : Le ruminement Voui voui
:)
Elisa
| 12/15/2008
ok :)
B l o w n b l u e
| 12/15/2008
Je viens de voir, Blownblue, et je comprends ton concept... Mais il me semble sentir quelque part en toi une légère nostalgie de U-blog...C'est vrai que là aussi, on a eu le sentiment d'une histoire d'inachevé ou plutôt d' "achevé" au poignard dans le dos envers et contre nous... Ou bien est-ce seulement moi qui projette sur toi ce que j'éprouve?
Kisses.
AURORA
| 12/16/2008
j'avais commencé ce projet en 2005, la fin d'ublog l'a "inachevé". Ce n'est pas la nostalgie qui m'a fait continuer, juste la persévérance, perseverrance même :)
Mais en dehors de ça, la nostalgie de l'enthousiasme collectif d'ublog, oui, c'est clair :) je n'en retiens pas d'amertume envers six apart, j'étais assez résigné sur la nature de l'entreprise. La résignation n'empêche pas le combat. On n'a rien à regretter, on a fait ce qu'on a pu. Ce qui m'énerve, c'est qu'on ne retrouve pas cet enthousiasme, nulle part. avec l'impression d'une marche arrière inadmissible il y a eu effet de mode des blogs sans doute, c'est bien la 1ère mode que je regrette :)
B l o w n b l u e
| 12/16/2008
plus que 23 notes vides
B l o w n b l u e
| 12/18/2008
Brrr, ça me fait froid dans le dos, je n'aime pas les choses qui ont une fin définitive comme la mort, j'aime bien les portes entre-ouvertes qui laisse toujours passer un souffle d'air .