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Monday 30 June 2008 à 20h25
par B l o w n b l u e
On les range dans une bibliothèque, on les loue, on les prête, on les offre, on les achète, on les laisse traîner partout?
de dulci
le 2008-12-12
à 09h32
on lit les livres comme on parle avec qqn pour le connaitre
on range les livres dans une bibliothèque comme on stocke les gens dans sa mémoire
on les loue rarement, sauf si laudativement
on les prête comme on fait de l'échangisme :)
on les offre comme on restructure
on les achète comme on embauche
on les laisse traîner partout comme on laisse la liberté d'aller et venir au commun des mortels
on les numérise
on les clone
on les censure
on les modifie comme on désinforme
on les a brûlés naguère...
etc...
on range les livres dans une bibliothèque comme on stocke les gens dans sa mémoire
on les loue rarement, sauf si laudativement
on les prête comme on fait de l'échangisme :)
on les offre comme on restructure
on les achète comme on embauche
on les laisse traîner partout comme on laisse la liberté d'aller et venir au commun des mortels
on les numérise
on les clone
on les censure
on les modifie comme on désinforme
on les a brûlés naguère...
etc...
de B l o w n b l u e
le 2008-12-12
à 14h37
Les hommes sont des livres, dont l'écriture reste parfois difficile à lire ou encore invisible :)
de Elisa
le 2008-12-12
à 14h54
Juste un courant d'air
Il s'est déchiré la page du visage
De son livre à corps ouvert
Froissé jusqu'à la dernière page
Par un léger courant d'air .
Juste quelques mots déplacés
Restés sur les lignes en équilibre
Qu'est-ce qui l'a pris de s'émietter
L'histoire était encore lisible !
Elle recompose pour le lire
Les phrases au vent toutes envolées
Ce roman éparpillé, sans titre
De cet homme à déchiffrer sur papier.
Et si les phrases sont à l'envers
S'il manque un doigt à une main
S'il s'écrit tout de travers
Elle le devinera jusqu'au point.
Extrait de ( Le fil Bleu)
Il s'est déchiré la page du visage
De son livre à corps ouvert
Froissé jusqu'à la dernière page
Par un léger courant d'air .
Juste quelques mots déplacés
Restés sur les lignes en équilibre
Qu'est-ce qui l'a pris de s'émietter
L'histoire était encore lisible !
Elle recompose pour le lire
Les phrases au vent toutes envolées
Ce roman éparpillé, sans titre
De cet homme à déchiffrer sur papier.
Et si les phrases sont à l'envers
S'il manque un doigt à une main
S'il s'écrit tout de travers
Elle le devinera jusqu'au point.
Extrait de ( Le fil Bleu)
de Elisa
le 2008-12-12
à 15h19
:)...
Ça me laisse tout chose...
je te remercie
je te fais un bisou
Il est tellement vrai ce poème, non ?... :)
je peux le mettre dans une des notes d'ici ?
je te cite bien sûr...
Ça me laisse tout chose...
je te remercie
je te fais un bisou
Il est tellement vrai ce poème, non ?... :)
je peux le mettre dans une des notes d'ici ?
je te cite bien sûr...
de B l o w n b l u e
le 2008-12-12
à 15h32
Il te ressemble assez pour qu'il t'appartienne un peu :)
C'est très gentil à toi de lui offrir une petite place dans tes notes .
C'est très gentil à toi de lui offrir une petite place dans tes notes .
de Elisa
le 2008-12-12
à 15h51
je réfléchirai à ce que tu dis des livres pour savoir si les zhoms pareil!
de fleurdatlas
le 2008-12-12
à 19h34
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