43*5*2 - Business model polyvalent
12/12/08
J'ai lu que les juifs enseignaient à leurs enfants de rechercher leur vocation très tôt. Dès 6 ans environ...
Aimer prend du temps. Aimer faire quelque chose. Que rien, rien, n'a obligé à être, faire, vivre, sentir, selon ses propres moyens, selon son humble imagination pour survivre en un contexte politique donné, même favorable...
Je ne sais plus ce que je voulais dire...
:)
27/12/08
Je n'ai pas retrouvé ce que je voulais dire mais j'ai quelque chose à ajouter.
Selon une toute récente théorie de l'entreprise qui sort de je ne sais où, le business model est la manière dont l'argent est obtenu.
Toute activité est formulable en terme de règles, qui décrivent le mode opératoire pour obtenir le résultat, un bien ou un service donc, les deux catégories que la théorie économique de base enseigne dans tout manuel actuel.
A partir du moment où il y a des règles, on peut dégager une formation, l'institutionnaliser en diplôme, et devenir formateur, ou pour ce qui est de l'activité elle-même, en faire une entreprise de production, selon la législation du pays où l'on pratique. Et travailler à rendre cela rentable.
Je ne vois pas trop, honnêtement, ce qui pourrait s'opposer à ces humbles affirmations.
Ce matin, j'ai pensé pouvoir classer le pratiquant en 3 catégories :
- L'amateur, qui apprend à obéir aux règles. Qui y réussit plus ou moins, et qui n'en dégage pas un revenu régulier et suffisant pour vivre.
- Le professionnel, qui obéit aux règles. Et qui gagne sa vie avec.
- Le génie, dans le sens étymologique du terme : le génie génère les règles. Les relations du génie avec les règles sont le tout ou rien : ou il a les moyens de les mettre en place et c'est très cher, ou bien c'est la ruine parce que les concurrents font tout pour casser celui qui a fait un pas dans l'inconnu.
Là où les règles sont floues, on confond souvent les 3...
Mais c'est peut-être très caricatural ce que je dis là...
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